Miss parasito
Ce matin... 'fin midi, petit déj' tranquille avec mes potes et miss parasito... (qui s'est englouti mon pot de confiote des prunes du jardin...). Je m'isole quelques minutes sur ma terrasse tranquille pour rêvasser béatement les yeux dans mon mimosa et là l'autre parasito se pointe avec sa guitare et tsoingue tzouingue, elle se met à côté de moi à froisser ma zénitude du café... puis une fois que je renonce à ma connexion elfiko-arborescente... "hé, j'peux prendre une douche?" "bah au point où on en est, vas-y hein!" "de quoi?" "nan mais laisse tomber, vas-y! (dégage deux minutes hors de ma vue)".
Là je lui ai refusé mon accès internet, parce que ça va bien aller hein, commence à me gonfler Albertine avec ses intrusions... Je regarde par la fenêtre: à l'instant, miss parasito s'est installée dans mon jardin à moitié à poil... Puis elle se lève va dans mon frigo, se sert, reprend sa guitare et me pollue mon ambiance... vas-y c'est la fête.
Ca me laisse coite cette faculté à s'imposer comme ça chez les gens, certes je sais, je ne suis pas un modèle d'ouverture à autrui, j'suis pas très sociable, j'suis plutôt sauvage... Là par exemple, avec ma gueule des mauvais jours qui envoie des missiles à travers les zyeux, j'envoie des ondes à mon chat Hélios, pour qu'il aille faire ses griffes sur sa foutue guitare. Mes potes ont fuit sur le marché... Je lui donne une heure, si à 14h30 elle est encore là... je vais l'aider moi, à prendre ses cliques et ses claques et à oublier où j'habite...
En fait... j'ai horreur des gens qui me forcent la sympathie.